Dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 mars 2015, vous dormirez une heure de moins. Mais pour éviter de trop ressentir les effets de ce décalage horaire, voilà quelques astuces.
Le dimanche 28 mars à 2 heures du matin, il faudra avancer la petite aiguille d’une heure. Résultat : il sera alors 3 heures. Or, comme vous en avez déjà fait l’expérience les années passées, il est plus aisé de reculer une horloge que de l’avancer. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est plus facile de veiller une heure de plus que de s’obliger à se coucher lorsque le sommeil n’est pas suffisant.
Il n’empêche : les recommandations de spécialistes abondent sur la question, pour éviter que le changement d’heure n’interfère trop sur l’organisme. Concrètement, le tout est de modifier ses habitudes à l’avance. Ainsi, les neurobiologistes invitent à décaler son réveil près d’une semaine avant le jour J. En pratique, la meilleure solution consiste à régler son réveil 15 minutes plus tôt au cours des quatre jours précédant le changement d’heure. Ce qui permet dès lors de se coucher une heure plus tôt plus aisément le moment venu.
En outre, les spécialistes invitent à se passer de grasse matinée durant le week-end du changement d’heure. Pourquoi ? Tout simplement parce que cela repousse le problème et qu’il sera d’autant plus difficile de se lever en forme le lundi matin. L’idéal est pour cette raison d’adopter le bon réflexe dès le départ. À noter que les neurobiologistes estiment qu’il est crucial de se lever avec la lumière du jour, à la fois pour le moral et pour le rythme biologique.
Sources : topsante, laparisienne