Vous trouvez les barres chocolatées et autres douceurs Nestlé trop sucrées ? Bonne nouvelle ! La marque a annoncé avoir trouvé le moyen de réduire la teneur en sucre de ses produits. Et ce ne serait pas rien puisque Nestlé parle de 40 % de sucre en moins. Comment la marque compte-t-elle s'y prendre ? On vous dit tout !
Un constat sans appel : nous consommons trop de sucre
Diverses études l'ont prouvé : nous avons tendance à consommer trop de sucre. S'il est mauvais pour nos dents, il l'est aussi pour notre organisme en général (prise de poids, augmentation des risques de maladies cardio-vasculaires...).
Notre alimentation doit donc être revue et corrigée afin d'être moins riche en sucre. Et les marques proposant des barres chocolatées et autres sont pointées du doigt car leurs produits sont bien trop sucrés.
Pour Nestlé, géant des confiseries, la solution est toute trouvée.
Quand Nestlé fait appel à des scientifiques
Pour réduire le taux de sucre dans ses diverses confiseries, Nestlé a fait appel à un comité de scientifiques. Ces derniers se sont donc penchés sur la question et ont trouvé une solution.
Les chercheurs engagés par Nestlé sont ainsi parvenus à modifier la structure du sucre. Le résultat ? On pourrait en utiliser moins sans pour autant altérer le goût des produits.
Un ingrédient mystère
Nestlé se garde bien de révéler son secret. Cependant, la marque a précisé qu'il s'agit d'un aliment traditionnel et naturel. En outre, elle espère pouvoir en dire davantage courant 2017.
Ce fameux ingrédient mystère, quant à lui, devrait être utilisé dès 2018 après que cette innovation aura été brevetée.
Prochaine étape : l'huile de palme ?
Après la réduction du sucre dans ces produits, la marque va-t-elle supprimer l'huile de palme de ces derniers ? Car, fin novembre, elle était accusée par Amnesty International d'exploiter des femmes et enfants indonésiens en achetant de l'huile de palme produite par ces derniers...
De plus, la production d'huile de palme est aussi responsable de pollution, de déforestation ou encore de la disparition progressive des orangs-outans.