Face à la crise, les 35 heures ne sont plus d’actualité
Publié le - Mis à jour leSelon une étude de l'Observatoire social de l'entreprise, réalisé pour le CESI par Ipsos-Logica Business Consulting en partenariat avec Le Figaro, les Français seraient majoritairement prêts à faire des concessions sur les 35 heures et sur les salaires afin d’éviter les licenciements massifs.
Cette étude publiée le 12 novembre montre qu’une majorité des salariés préfèrent renoncer à certains acquis sociaux plutôt que d’assister impuissants à la multiplication des plans sociaux dans l’Hexagone. Un salarié sur cinq craindrait de se retrouver rapidement au chômage, surtout les seniors actifs (30 %), les femmes (29 %) et les salariés de TPE (34%).
Un réaménagement envisagé
Ils sont 54 % à accepter des réaménagements d’horaires quitte à supporter un chômage partiel, 59 % sont d’accord pour supporter un gel des salaires mais ils sont seulement 32 % à être prêts à faire face à une baisse salariale. 64 % seraient prêts à "oublier" les 35 heures, mesure emblématique du gouvernement Jospin.
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