La puissance de l’échec : comment le transformer en tremplin pour la réussite ?
Publié leL’échec est une étape indissociable du parcours de la vie et est voué à surgir en cours de route. Ce dernier étant le plus souvent perçu d’un point de vue négatif, beaucoup s’efforcent à faire en sorte de minimiser autant que possible les risques d’aboutir à cette issue. Toutefois, il faut savoir qu’il n’est pas toujours possible, encore moins évident, de tout réussir du premier coup. Un échec est parfois un arrêt obligatoire dans le voyage vers la réussite. Dès lors, l’objectif est de savoir en tirer avantage.
Se relever après avoir heurté un obstacle et subi un échec est une chose, s’en servir comme d’un tremplin pour bondir vers le succès en est une tout autre. Ces deux étapes sont complémentaires et font partie d’une stratégie qui vise à transformer ses erreurs en leçons de vie. Tour d’horizon.
Savoir identifier les erreurs qui ont conduit à l’échec
Que ce soit d’ordre privé ou professionnel, un échec est le plus souvent le fruit de petites ou grosses erreurs commises en cours de route. Dans tous les cas, cette expérience douloureuse n’a rien d’amusant, d’autant plus si elle survient dans un contexte où les enjeux représentaient beaucoup aux yeux de la personne. Pour autant, elle ne doit pas représenter un arrêt définitif, une raison d’abandonner ou de se détourner, démotivé, de ses objectifs initiaux. L’idée est de se servir de ces erreurs comme d’un levier pour mieux avancer et transformer les épreuves en force. Pour ce faire, il convient, dans un premier temps, d’identifier les principales causes de l’échec subi, une fois l’événement accepté tel quel. Tout échec est source d’apprentissage qu’il revient à chacun de relever et d’utiliser.
Abandonner ne signifie pas nécessairement échouer
L’idée de l’abandon, dans le cadre d’un projet ou d’un autre contexte d’ordre privé, a été assimilée, à tort, à un échec. Pourtant, c’est loin d’être nécessairement le cas, tout comme la procrastination peut aider à travailler mieux. Selon la situation, l’abandon peut servir à minimiser les risques ou les impacts de l’échec. S’il apparaît évident que quelque chose (une approche ou une méthodologie) ne fonctionne pas comme il faut ou ne produit pas les résultats escomptés, l’erreur, dans ce cas-ci, serait d’insister en poursuivant sur le même chemin. Cette erreur est commune dans la mesure où l’idée même de l’abandon est qualifiée d’échec par la société, alors que le véritable échec serait le résultat de cette persistance. En somme, il est essentiel de savoir évaluer la situation et, éventuellement, d’abandonner ou de changer d’approche au moment opportun pour progresser.
Rebondir intelligemment suite à un échec
Rebondir après un échec n’est pas toujours une démarche évidente à aborder suite à une telle expérience. Il faut cependant garder en tête que cette épreuve peut contribuer à forger sa résilience et servir de facteur de succès. Il convient, pour ce faire, d’apprendre à :
- Anticiper et dédramatiser les échecs, aussi répétitifs puissent-ils être : ils doivent être perçus comme étant une étape du voyage vers la réussite, une opportunité d’apprentissage.
- Se relever et passer rapidement à l’action après un échec, se préparer mentalement, en assimiler les causes et reprendre le chemin avec de l’expérience en plus.
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