Alopécie androgénétique, pelade, calvitie…De quoi parle-t-on exactement ?
En réalité, les trois termes se rejoignent, car ils désignent tous une perte de cheveux. La nuance sémantique est plutôt liée aux cas exposés :
- On parle de pelade lorsque la chute de cheveux se fait en plaques, ou sur tout le cuir chevelu. Ce phénomène survient le plus souvent lors de périodes de stress ou de chocs psychologiques. Mais la situation est souvent conjoncturelle et les cheveux repoussent alors naturellement. Ils peuvent, lors de la repousse être blancs, de manière le plus souvent transitoire, fort heureusement !
- La calvitie quant à elle, correspond à l’absence totale ou partielle de cheveux. Le terme est celui qui vulgarise le mot plus « savant » d’alopécie, mais il est généralement utilisé pour en désigner la forme masculine… On parle en effet rarement de calvitie pour les femmes…
- Enfin, l’alopécie dite androgénétique (celle qui se prête le mieux à la greffe capillaire), renvoie à des facteurs génétiques et hormonaux. Elle est moins présente chez la femme, car ses taux d'androgène sont plus bas que chez les hommes. Elle peut cependant se manifester de manière aiguë lors de changements hormonaux tels qu’une situation post-partum, le début ou l’arrêt d'une contraception orale, ou encore la ménopause. Pour cette raison, un bilan hormonal est souvent préconisé lorsqu’une femme souhaite traiter une alopécie.
Pour les hommes, comme les femmes, l'alopécie androgénétique peut également apparaître dans des situations de maladie grave, de prise de médicaments ou encore de déséquilibre alimentaire…
Des instituts spécialisés sont en mesure d’évaluer la situation et de vous proposer, le cas échéant, la solution de la greffe capillaire en vous montrant le résultat implant capillaire avant après.
La greffe … Solution optimum pour lutter contre l’alopécie androgénétique
Oubliez les traitements médicamenteux, shampoings antichute, et autres potions magiques ! À l’heure actuelle, la greffe de cheveux est la seule méthode vraiment efficace pour lutter contre l’alopécie, surtout lorsqu’elle est d’origine androgénétique. La greffe permet en effet aux patients, à n’importe quel stade de leur perte de cheveux, de retrouver une chevelure saine, de qualité, et joliment fournie. Et ce, généralement dans les neuf à douze mois qui suivent l’implantation capillaire.
Deux types de méthodes sont utilisés en fonction du profil du patient :
- La méthode FUE (Follicular Unit Extraction) sera appropriée aux personnes dont l’alopécie est naissante,
- La méthode dite FUT (Follicular Unit Transplantation) concernera quant à elle les personnes souffrant déjà de calvitie sévère.
De nombreux articles, comme sur topsanté, expliquent de manière didactique le déroulement de ces deux méthodes et quels résultats en attendre.