Vasque et lavabo : quelles différences ?
Outre le fait que la vasque est le plus souvent simplement posée sur le plan de toilette, elle se distingue également du lavabo traditionnel par sa robinetterie. Celle-ci n’est pas intégrée à la vasque comme elle le serait à un lavabo mais fixée au plan de toilette.
Vasque : pour quel matériau opter ?
Épurées mais fragiles, les vasques en verre (même trempé) sont relativement fragiles.
Les vasques en céramique comptent parmi leurs points forts d’être :
- d’un entretien facile ;
- solides (il est possible de renforcer encore leur solidité en céramique en leur appliquant un vernis durcissant) ;
- économiques.
Côté inconvénients, on peut toutefois regretter le peu de coloris disponibles…
Si vous optez pour une vasque en béton, vous apprécierez le fait qu’elles :
- soient solides ;
- nécessitent peu d’entretien.
En revanche, leur prix peut parfois s’avérer dissuasif.
Les vasques en marbre ont du cachet mais on peut leur reprocher d’être :
- relativement lourdes ;
- chères ;
- vulnérables aux taches (l’application d’un produit hydrofuge est recommandée) ;
- gourmandes en terme d’entretien.
Très répandues, les vasques en céramique (ou plus exactement en Corian ®) peuvent compter sur :
- leur poids "plume" ;
- leur don pour l’imitation (elles sont capables de copier l’apparence et la texture d’autres matériaux) ;
- leur résistance aux chocs ;
- la large palette de coloris dans laquelle elles sont disponibles.
Mais si les vasques en résine existent dans de nombreux coloris, en revanche, le choix est plus limité pour ce qui est des formes.
Vasques : combien coûtent-elles ?
Question budget, le prix d’une vasque dépend de son matériau mais aussi de sa forme et de ses dimensions.
Pour une vasque :
- en résine, comptez entre 100 et 300 € ;
- en béton, il vous en coûtera plus de 300 € ;
- en céramique, comptez environ 60 € en moyenne ;
- en marbre, vous pourrez débourser jusqu’à 1 000 €.
Vasques : faut-il passer par un professionnel ?
Recourir aux services d’un spécialiste vous garantit un travail bien fait.
En outre, s’adresser à un professionnel permet de disposer d’un recours au cas où la pose aurait été mal effectuée. En effet, un artisan engage toujours sa responsabilité. Parce qu’il est tenu à souscrire une assurance décennale, il reste responsable, pendant 10 ans, des dommages qui pourraient survenir suite à son intervention.