Le neurofitness : entraîner son cerveau pour une meilleure santé mentale
Publié lePour la santé du corps, il est essentiel de pratiquer une activité physique régulière. Cette approche permet non seulement de se maintenir en bonne santé, mais aussi d’optimiser ses capacités physiques pour une meilleure performance générale. Cette logique s’applique également au cerveau, un organe au fonctionnement complexe qu’il est tout à fait possible d’entraîner en vue d'en développer la structure et les capacités. Comme le corps, le cerveau a besoin d’un entraînement rigoureux, un concept qui a été baptisé “neurofitness”. Cet entraînement cérébral vise à optimiser l’agilité mentale et à améliorer ses fonctions cognitives.
Le cerveau, centre de contrôle du corps humain, est un organe fascinant qui continue d’émerveiller par la véritable étendue de ses capacités. Mieux encore, cet organe a le potentiel d’étendre davantage ses aptitudes avec les bonnes stimulations cérébrales. C’est notamment l’objectif du neurofitness. Tout comme un corps bien entraîné, un cerveau convenablement stimulé se révèle plus agile dans sa manière de fonctionner. Décryptage.
Pour un cerveau plus actif et mieux développé
Le neurofitness est, pour le cerveau, l’équivalent des activités physiques régulières pratiquées pour la bonne santé du corps et de l’organisme. Ce terme désigne tout un programme d’entraînement cérébral, incluant des activités physiques et intellectuelles, qui visent principalement à :
- Optimiser la neurogenèse, le processus par lequel le cerveau crée de nouvelles cellules cérébrales ;
- Améliorer la neuroplasticité, ou l’aptitude du cerveau à modifier et à développer sa structure pour booster ses capacités.
La pratique du neurofitness intervient sur ces deux processus et permet, au fil des stimulations, d’élargir ses fonctions cognitives et de renforcer l’agilité du cerveau.
Bien oxygéner le cerveau pour assurer son bon fonctionnement
Qui dit stimulation du cerveau pense en premier à des activités intellectuelles telles que la lecture, aux bienfaits avérés et indubitables. Pourtant, ces activités ne représentent en réalité qu’une partie du programme de neurofitness. En effet, cette approche dicte également quelques pratiques physiques qui entrent dans le cadre de la stimulation cérébrale. La première concerne notamment la respiration et l’importance d’une bonne oxygénation pour la santé et l’activité du cerveau. Dans l’idéal, il est conseillé de pratiquer, au réveil, une série de trois respirations profondes pour réveiller le cerveau et le préparer à affronter la journée.
Stimuler les zones inactives du cerveau
Le cerveau humain est structuré en plusieurs régions, certaines actives et d’autres plus ou moins endormies, car moins stimulées que les parties habituellement sollicitées. Les neurones de ces parties non stimulées, si elles demeurent longtemps passives, peuvent dégénérer et s’éteindre, réduisant ainsi les capacités cérébrales. Le neurofitness encourage la stimulation de ces régions cérébrales non sollicitées qui représentent une réserve cognitive qui attend d’être exploitée. Comment ? En cultivant la curiosité et en s’intéressant à de nouvelles activités. Travailler quotidiennement à développer de nouvelles compétences, en plus de celles déjà détenues, permet de réveiller les neurones inactifs et d’élargir ses facultés.
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